Suite aux réunions du 24 et 27 septembre entre les organisations représentatives du personnel et le Conseil administratif (CA) et dans l’attente d’un hypothétique courrier de réponse à nos demandes, force est de constater que :
- Les mécanismes salariaux sont toujours bloqués: le CA n’a fait aucune proposition concrète, et tenterait de trouver des solutions.
- Il n’y a eu aucune entrée en matière pour la cessation anticipée d’activité pour les fonctions pénibles, seulement le maintien de la date de rencontre du 5 novembre, qui ne permet pas de garantir une entrée en vigueur rapide, avec une feuille de route, des échéances claires pour finaliser le dossier. Aucun budget n’est prévu pour 2022.
- La question des indemnités pour les inconvénients de service horaire n’a fait l’objet d’aucune information. A ce stade, on peut considérer selon leur propos que ce n’est pas finalisé.
- L’art. 74 du Statut (réduction de la durée de travail dès 57 ans) n’a fait l’objet d’aucune entrée en matière.
- Le télétravail n’a fait l’objet d’aucune ouverture de négociations sur un règlement.
En conséquence, le personnel maintient ses demandes au Conseil administratif figurant dans la résolution du 2 septembre 2021.
L’assemblée générale décide
- De faire une nouvelle assemblée générale le 8 novembre 2021 pour prendre connaissance de l’avancée des réponses aux demandes et de décider de la suite du mouvement en toute connaissance de cause.
- De déposer un nouveau préavis de grève pour toute la journée du 11 novembre 2021, avec le principe de pouvoir reconduire la grève le lendemain à l’issue de l’assemblée générale qui se tiendra ce jour-là.